De ceux qui sont conservés dans la basilique, le tableau le plus connu est sans conteste celui du Sacre de saint Hubert, peint en 1648 à la demande de l'abbé Nicolas de Fanson - qui prête ses traits à Hubert - par un artiste anonyme.
Deux photos d'un accident - le plus grave qu’ait connu la ligne de tramway de Poix à Saint-Hubert - entre un convoi vicinal et une voiture illustrent un article d'André Dagant publié en 1978 dans le tome II des Cahiers d’histoire (p. 253). Des légendes sommaires les accompagnaient. Voici le détail des faits, reconstitués au départ des articles parus dans la presse de l'époque.
De 825 à 1794, de sa fondation à sa suppression, d'Alveus à Nicolas Spirlet, l'abbaye de Saint-Hubert aurait connu 51 abbés.
Le tramway vicinal qui relia jusqu’à la fin des années 1950 Saint-Hubert à Poix et à Freux connut quelques mésaventures hivernales. Certaines sont relatées par André Dagant dans les articles qu’il lui a consacrés dans les tomes 2 et 3 de nos Cahiers d’Histoire.
Vers 1721, Dom Lefèbvre réaménage totalement l’intérieur de l’abbatiale, en faisant largement usage du marbre extrait de la carrière achetée en 1707 par l'abbaye, à Thise (voir cet article).
Dans les premières décennies du 18e siècle, les abbés Clément Lefèbvre (1686-1727) et Célestin de Jongh (1727-1760) entreprennent de grands chantiers de rénovation ou de construction. Il utilisent, pour créer les nouveaux décors intérieurs de l'abbatiale et de leur quartier, d'importantes quantités de marbre.